En 1936, J. M. Keynes énonçait que le monde, loin d’être mené par les intérêts, l’est presque exclusivement par les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique: «Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves des croyances et utopies de quelque économiste passé». Ce regard sur le rôle des croyances dans les économies est-il encore d’actualité?
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