Dans un monde bureaucratisé, le papier a supplanté le témoignage oral pour valider l’identité. Le récit correspondrait à du faire croire, tandis que le papier ferait foi, donc loi. Or, récits et papiers relèvent tous deux d’un régime d’attestation de l’identité, qui engage une relation de confiance dans les institutions et/ou les individus qui les produisent. Nous explorerons les pratiques qui rendent crédible l’identité, en Europe et en Afrique.
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