Depuis 40 ans, l’histoire et la philosophie ont bousculé les idées reçues sur la science. La vérité a été remplacée par le consensus: le savant est impliqué dans un réseau de négociation des connaissances. Ses idées sont aussi validées grâce aux rhétoriques de conviction. Quel regard l’historien porte-t-il aujourd’hui sur ces processus du faire croire dans les sciences?
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