Les religions de l’Antiquité méditerranéenne, de la Chine et du Japon d’autrefois ne reposent pas sur une «foi». L’important est d’accomplir des rites qui, en eux-mêmes, portent un sens littéral minimal, souvent implicite. Ces rites n’en sont pas moins mobilisés par des commentaires et par les plus hautes spéculations de la philosophie. Quelle est alors la place du «croire»? Comment, dans des systèmes ritualistes, s’articulent pensée et rite?
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